mercredi 24 novembre 2021

Les Pires des Pires


Non je ne vous parle pas des Canadiens de Montréal de cette saison. 

Mais je vous concède, que je le titre pourrait y référer.

Ce qu'il faut comprendre, c'est que Shea Weber. Carey Price et Corey Perry coachaient le vestiaire de Montréal, l'été dernier. Et que Mumbling Ducharme, n'a pas la pogne sur le sien sans ses trois là. 


Non, ce sont les Coyotes de l'Arizona, qui impressionnent de médiocrité, avec une fiche de XXX-XX-X pour XX pts, et un différentiel atroce de -XXX, qui m'a inspiré ce top ten des pires concessions de l'histoire de la LNH, à travers les temps. 

Un gênant opportunisme politique de la part du gouvernement Legault, qui fait véritablement le plein de ravitaillement afin de se gagner des votes pré-campagne (les élections sont prévues en 2022) et qui voudraient surement le 418 en entier, couplé des performances de marde des Coyotes, qu'on fait déménager à Québec dans les fantasmes depuis longtemps déjà, m'a aussi fait penser aux pires clubs de la LNH. Qui naissent toujours des pires décisions de l'État-major, au préalable. 


Comme choisir d'investir sur des multimillionnaires quand tes écoles se meurent.  

Pour chaque Islanders ou Oilers des années 80, Penguins ou Red Wings des années 90, Avalanche, Penguins, Black Hawks ou Lightining des années 2000/2010, il y a eu de formidables chaudrons qui ont été rien de moins qu'atroces au travers des époques. 

Je n'ai pas compté les trois premières saisons d'une franchise, à qui je donne le temps de se construire une double identité, sur la glace, et au sein de l'état major de la concession. Les Islanders de 1972-1973, Sénateurs de 1992-1993, Sharks de la même année, et plus particulièrement les Capitals de 1974-1975 auraient tous mérités une place ici, mais je les épargne. 


Par considération pour mon ami, Johnny Lemieux, avec lequel j'ai travaillé, et qui était de l'organisation des Caps, aussi. Il ne commencera en fait avec les Caps que l'année suivant celle de 1974-1975 où Washington avait obtenu la pénible fiche de 8 victoires en 80 matchs. Cette année là, Lemieux était un Flames d'Atlanta. Washington gagnerait...3 matchs de plus...11, sur 80. 

Les anciennes concessions sont aussi éligibles si ont elles ont joué plus de trois ans dans le circuit.

Et finalement, une franchise ne pouvait qu'être représentées qu'une seule fois dans ce top 10. 


Je vous propose de vous présenter la misère collective en organisation de hockey en trois volets: Le Bon, le Brutal, le Désolant. 

Leone style. Entendez l'harmonica

Le % de pt fait foi de tout, puisque la somme des match des calendriers se comparent peu au travers des temps. 

10. LES PENGUINS DE PITTSBURGH de 1983-1984. (16 victoires, 58 défaites, 6 matchs nuls, 80 matchs) 


Le bon: Ils ont eu leur homme. Les Penguins avaient bien vu comme tout le monde le grand #66 qui avait marqué 133 buts et obtenu 282 pts en 70 matchs dans la LHJMQ l'année d'avant. Il avait obtenu 184 pts en 66 matchs, à 16 ans, et 96 pts en 64, à 15 dans la même Ligue. Mario Lemieux était un incontournable premier choix de la LNH, comme il en arrive peu. Pittsburgh cette année-là, a été un exemple de volontarisme dans la défaite jusqu'à la fin. Ils avaient envoyé leur jeune gardien d'avenir, Roberto Romano, dans les mineures en fin de saison, lui qui n'avaient pourtant qu'un jeune 20 ans, et qui auraient dû déloger Dennis Herron (31 ans) et Michel Dion (29) pour préparer la saison suivante. On voulait perdre. On voulait ce premier choix. Fallait être pire que les Devils. On l'a été de 3 pts. Kirk Muller serait leur choix à eux. Il n'y avait pas de tirage à cette époque. Le tout dernier repêchait premier. Lemieux aura une carrière phénoménale avec Pittsburgh, qu'il avait d'abord boudé, leur offrant leur 2 premières Coupes Stanley, raflant les deux premiers Conn Smythe de l'organisation, et se trouvant toujours au sein de l'organisation pour les trois Coupes avec Sid, Kris, Marc-André et Gino, de nos jours, toujours boss du club.

Le brutal: 3-17-1 dans ses 21 derniers matchs. Les adversaires ont marqués au moins 6 buts ou plus contre Pit dans 14 de leurs 25 derniers matchs. Qui a inclut une dégelée de 13-4 contre Philadelphie après avoir gagné par erreur (ou dignité) deux matchs de suite.

Le désolant: Même si ils mettaient la main sur un des plus beaux talent de l'histoire de la LNH, il faudra plusieurs années avant que les Penguins ne retrouvent le chemin de la compétitivité. Ils ne feront les séries qu'à la cinquième saison de Lemieux en Penguins. Devenant une menace seulement quand ils repêchent Jaromir Jagr, en 1990. Ils étaient content d'avoir Lemieux, mais ce fût long avant le succès collectif. 

9.LES BRUINS DE BOSTON de 1961-1962. (15-47-8, 70 matchs)


Le bon: Juste avant que tout ne tourne au vinaigre, fin janvier 1962, Boston avait gagné 7 matchs en 15. Plus que depuis le début de la saison où le club jouait nettement sous la barre de .500. Comme les Bruins étaient à leur pire au même moment que les Celtics de la NBA étaient au sommet de leur sport, ça a passé pas mal mieux que ça aurait pu si le hockey avait été le seul sport en ville. 

Le brutal: Boston a accordé, cette année là, 87 buts de plus que l'équipe la plus près d'elle au classement général. La défensive était particulièrement poreuse pendant les 20 matchs sans victoire qui se sont tenus entre le 28 janvier et le 11 mars. Le pointage a même été 98-32 pour les clubs adverses. Un score qui même au basketball, serait un massacre. Boston, sur cette période à accordé 5 buts ou plus 14 fois sur 20. 


Le désolant: Boston a terminé dans les trois derniers (de 6) de la LNH perpétuellement entre 1942 et 1967. Il s'agissait de leur seconde saison de 7 de suite (dans des saisons de 70 matchs) où les Bruins obtenaient 48 pts ou moins. Dans les calendiers de 70 matchs, 48 pts ou moins, ça c'est produit 13 fois. Boston s'y retrouve plus de la moitié des fois. 

8. LES CANADIENS DE MONTRÉAL de 1939-1940. (10-33-5, 48 matchs)

Le bon: Ils avaient commencé la saison de manière encourageante gagnant 8-2 leur match d'ouverture. Ils étaient aussi 4-0-2 après 6 matchs et 7-4-2 au quart de la saison. Oui, ceci veut bien dire 3-29-3 pour le reste de la saison. mais au moins ils n'étaient pas cônes oranges sur la patinoire, toute la saison. la plupart des concessions ici, ne peuvent en dire autant. La concession de Montréal a gagné 11 Coupes Stanley de plus que son plus proche concurrent, les Maple Leafs. Cette saison n'est pas celle qu'on se rappellera tant dans leur histoire. À moins que cette année... 


Le brutal: Les gardiens de buts, Claude Bourque, Wilf Cude et Mike Karakas étaient terribles. Accordant 163 buts (+4 dans des filets déserts) en 48 matchs. Une moyenne de presque 4 accordés par match. C'est la seconde pire fiche, à ce niveau, de toutes les équipes des saisons des années 30. Les Quakers de Philadelphie de 1934-1935 ont été pires. Je vous en reparle indirectement plus loin. 

Le désolant: Après avoir commencé la saison avec une offensive autour de 3 buts par match, le club est tombé à un but et demi, en moyenne, jusqu'à la fin de la saison. Donc si la tenue devant les buts était brutale, l'offensive était pire encore. Montréal a connu une série de 9 défaites consécutives, suivies de deux autres séries de 10 défaites consécutives, sur 31 matchs. 


7. LE LIGTHNING DE TAMPA BAY de 1997-1998. (17-55-10, 82 matchs)

Le bon: La seule bonne chose qui arrive pour ce club cette année-là arrive en fait après la saison. Ils repêchent au premier rang, Vincent Lecavalier. Ce dernier marquera 383 buts dans les années qui suivent, 52 juste en 2006-2007, et soulèvera la Coupe avec le club, en 2004, pour leur toute première conquête. 

Le brutal: Tampa Bay a gardé une moyenne de 1,8 buts par match. Les 2 meilleurs buteurs, Mikael Renberg et Alexander Selivanov, n'ont obtenu que 16 buts chacun. Paul Ysebaert a terminé premier marqueur avec 40 petits points. Après 20 matchs, TB avait une fiche de 2-16-2. Ils ont aussi connu une séquence de 16 matchs sans victoire. Puis, entre le 2 janvier et le 5 février, ont aussi connu 16 matchs consécutifs, sans gagner. 

Le désolant: Si on exclut la première saison du retour des Sénateurs, la seconde des Sharks, et la première des Trashers d'Atlanta, l'édition du Lightning de cette époque était la pire des 30 dernières années. 


6. LES BLACK HAWKS DE CHICAGO de 1953-1954. (12-51-7, 70 matchs)

Le bon: Bien qu'au sein du club qui terminera dernier au classement général (de 6 clubs), le gardien de buts Al Rollins allait gagner le trophée Hart, remis au joueur le plus utile au circuit de la LNH. Même si il perdait 47 matchs et accordait en moyenne 3,21 buts par matchs. C'était à la fois un prix pour l'ensemble de sa carrìère, à la fois un geste de pitié pour l'athlète. Rollins n'était pas moins qu'héroïque étant bombardé tous les soirs. 

Le brutal: L'une des plus anémique offensive de l'histoire de la LNH avec une moyenne de 1,9 buts par matchs sur une saison de 70 matchs. Aucun joueur des Hawks n'a atteint 20 buts, tandis que plusieurs joueurs le faisaient dans les 5 autres clubs. Le club a été blanchi 14 fois en 70 matchs. Ceci veut dire qu'un match sur 5, il n'y avait probablement aucun but des Hawks. Dans les 6 derniers matchs de la saison, l'offensive a pris carrément congé, le club étant blanchi 4 fois. 


Le désolant: C'était le plus bas des Hawks de cette époque, mais Chicago est resté très mauvais sur une période de 10 ans. Entre 1946 et 1957. Ils ont terminé dernier 9 fois sur 10, et n'ont fait les séries qu'une seule fois à une époque où les 4 premiers (de 6) se qualifiaient en séries. Après 1957 toutefois, ils feraient les séries 38 fois sur les 39 années suivantes. 

5. LES RED WINGS DE DETROIT de 1985-1986. (17-57-6, 80 matchs)


Le bon: Les Red Wings ne seraient pas si moches très longtemps. Ils avaient fait les séries, l'année d'avant et l'année d'après. Mais avec 21 clubs dans la LNH, 16 les faisaient. Ça n'en faisait que 5 qui ne les faisaient pas. En 1985-1986, DET étaient des 5. Mais ensuite, les Wings seraient des séries 28 fois sur les 29 saisons suivantes.

Le brutal: Detroit était 21ème sur 21 dans les buts marqués et dans les buts accordés, ils étaient le club qui en avait alloués le plus. Le club avait 2 jeunes promu à un extraordinaire avenir, Steve Yzerman, 20 ans, et Adam Oates, 23. Mais aucun support de vétérans. Ivan Boldirev, Brad Park et Darryl Sittler s'étaient tous retirés depuis deux ans. Et on avait pas remplacé ce type de sagesse pour encadrer les jeunes.


Le désolant:  Dans les 9 premiers matchs, DET avait une fiche de 0-8-1, mais surtout s'est fait pulvériser 58-22. C'est une marge de 4 buts de moins que l'adversaire par match. Non seulement le club était lamentable, mais il n'aura fallu que trois semaines pour le confirmer, en octobre. 9 fois, on jouerait trois matchs de suite qui seraient des défaites. 

4. LES GOLDEN SEALS DE LA CALIFORNIE de 1973-1974. (13-55-10, 78 matchs)


Le bon: Il y avait peu de buts pour le club de la Californie cette année là. 2,5 par matchs, en moyenne. Toutefois, au coeur de cette saison de misère, Reggie Leach obtient un tour du chapeau contre Chicago, le 6 janvier, et dès le lendemain, Ivan Boldirev en marque 4 dans une victoire de 8-6 contre les Blues de St-Louis. Il s'agissait de la seconde (et dernière) fois que les Phoques Dorés marqueraient 7 buts ou plus. 

Le brutal: La motivation à sec, en fin de saison, les Golden Seals allaient 11 de leurs 12 derniers matchs, annulant l'autre. Seuls les Islanders, qui en étaient à leur seconde année d'existence seulement, ont fait pire offensivement avec 182 buts pour. La Californie, marquera 13 buts de plus. 


Le désolant: La concession, qui allait s'éteindre 3 ans plus tard, terminait dernier de leur division pour la seconde fois de 6 ans consécutifs. Ils jouaient dans un marché épouvantable qui attirait en moyenne tout juste 5000 spectateurs, dans un uniforme atroce aux couleurs des Athletic's d'Oakland, et même avec des patins blancs pendant un temps. 


3.LES RANGERS DE NEW YORK de 1943-1944. (6-39-5, 50 matchs)

Ironiquement, des 6 clubs originaux ayant joué plus longtemps et plus souvent, dans deux cas (Mtl & Tor) sur 100 ans, il est à peu près normal qu'on retrouve au moins une fois une édition de chaque concession. Sauf Toronto. Mais les Leafs ont été mauvais avec consistance. Et sont naturellement risée depuis que je suis le Hockey. 

Le bon: Le futur membre du temple de la renommée et grand-papa de Ron Hextall, Bryan, obtenait 21 buts (en 50 matchs) en plus d'ajouter 33 mentions d'aide. Il s'agissait de sa 6ème saison consécutive de 20 buts ou plus, ce qui en faisait un des ailiers les plus remarquables de son époque. Bien que le club eût été déplorable cette saison-là, une large partie de la formation était, pendant la saison, à la guerre, en train de se battre contre les Nazis. La plupart des clubs de cette saison perdaient des joueurs au sens propre comme figuré, à la guerre, menaçant même la survie de la Ligue. 


Le brutal: Ken McAuley n'arrêtait rien devant le filet. Un vrai gruyère. Gardant les 50 matchs (-1 période), plusieurs l'ont considéré comme le pire gardien jamais passé dans la LNH. Avec ses 310 buts accordés, et sa moyenne de 6,24 buts accordés par match. Il détient d'ailleurs le triste record d'être l'unique gardien à avoir gardé 25 matchs ou plus et avoir maintenu une moyenne au-dessus de 5,5 buts accordés par match. 


Le désolant: Parce que toutes les rondelles entraient dans le but, les Rangers ont eu le second pire différentiel par match de l'histoire centenaire du circuit avec -2.96 buts de différence par match. Seuls les Capitals de leur toute première saison dans la LNH, en 1974-1975, ont fait pire avec un différentiel de -3,1 buts par match. Mais ce furent les deux seules fois de l'histoire de la LNH qu'un club terminait la saison avec un différentiel de -2,5 buts par match ou pire. NYR ont eu une fiche de 0-14-1 dans leurs 15 premiers matchs et de 0-17-4, dans leurs 21 derniers. Ouch!


2. LES NORDIQUES DE QUÉBEC de 1989-1990. (12-61-7, 31 pts)😞

Cette année-là, mon père, alors président de la Ligue Junior AA de la région de Québec, et voisin de ses bureaux à la ville et voisin encore plus près au chalet du Lac St-Joseph, de l'abject Marcel Aubut, pour le poste de nouveau directeur-gérant des Nordiques. On lui préfèrera Martin Madden. Qui avait comme mandat de rajeunir l'équipe.  Madden donne Michel Goulet aux Black Hawks et Peter Stastny, aux Devils. DONNE. Content que mon père n'ait pas hérité du mandat. Si il avait fait pire?


Le bon: À sa seconde saison seulement, Joe Sakic, choisissant le #19 au lieu du #88 de l'année précédente, obtient pas moins de 102. Franchir la cap des 100 points est une rareté dans les clubs qui terminent absolument dernier de la Ligue. Sakic termine 10ème meilleur marqueur du circuit, obtient 15 buts de plus et 25 mentions d'aide de plus, que le deuxième marqueur, le sacrifié Peter Stastny. Michel Goulet, autre sacrifié, est troisième marqueur. Michel Petit, à 36 pts, est 4ème marqueur! Joe était l'unique soldat de cette pauvre armée.

Le brutal: Mes Les Nordiques utilisent 7 gardiens cette année-là: Ron Tugnutt, Greg Millen, Sergei Mylnikov, Scott Gordon, Mario Brunetta, Stéphane Fiset et John Tanner. Seul Tanner a un % d'arrêt de .900 ou plus (.900). Mais c'est parce qu'il n'a gardé qu'un seul match. repoussant 27 des 30 lancers contre lui. Québec a accordé 48 buts de plus que le pire club le plus près d'eux au fond du classement. Ils étaient aussi dernier en offensive, mais à 5 buts des Canucks. 


Le désolant: C'était le fond du baril. Je quittais pour Sherbrooke, à l'université. Je ne les suivais plus régulièrement mes amours. Je suis responsable de leur chute. Ils se sentaient abandonnés. À 16 clubs qui faisaient les séries sur 21, c'était 76,2 % de chances de les faire. Québec ratera les séries 5 ans de suite. Récoltant le premier choix de la LNH trois ans de suite (Sundin, Nolan, Lindros). De 1987 à 1992, Que finit dernier de sa division. Et pas de photo finish...en moyenne 26 pts derrière le plus proche opposant. Terrible. J'étais mieux de ne pas trop les suivre, alors. 

1. LES PIRATES DE PITTSBURGH de 1929-1930. (5-36-3, 44 matchs)


Le bon: Cette franchise qui ne durera que 5 ans, mais laissera une impression durable sur les règles du circuit. En effet, avant leur proposition de faires des changements de lignes, tout le monde jouait sur la patinoire. 

Le brutal: En 5 ans, ils ne gagneront que 67 matchs sur leurs 212. Parmi ses rares victoires, le dernier match de George Vézina des Canadiens, qu'il battent 2-1. Vézina tombe sur la glace et doit quitter le match. On lui trouve la turberculose qui la tuera quelques mois plus tard. Ce sera aussi la dernière saison dans la LNH de la franchise. Dans le premier 40% de la saison, ils ne sont pas si pires. Mais dans les 27 derniers matchs, 1-24-2. 


Le désolant: Avec de tels résultats, ce jeune club ne roulait pas sur l'or aux niveau des recettes. Arrive alors le krash boursier de Wall Street qui mettra la clé dans la porte de la concession. L'équipe déménagera à Philadelphie pour y devenir les Quakers. Où il ne feront qu'une seule saison, CATASTROPHIQUE, de 4 victoires 36 défaites, 4 matchs nuls. 

Mentions de déshonneurs aux North Stars du Minnesota de 1977-1978, aux Devils du New Jersey de 1981-1982, aux Whalers d'Hartford de 1982-1983, et aux Maple Leafs de Toronto de 1984-1985. 

Les Coyotes de l'Arizona, qui attirent en moyenne 12 000 personnes par matchs (ce qui est encore 4000 de plus que Buffalo) ont actuellement une fiche de 4-13-2 en 19 matchs.  

À la Leone, toujours, leur nom aurait préférablement été personne, ces années-là.  

 

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